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Last Update: 02/10/2025 08:45 PM

Current Deck: Externat::Néphro 10 eme edition::item 201 Transplantation::Néphro -> REF

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Titre 1
VI. Les principales classes d’immunosuppresseurs utilisées en transplantation d’organe 
Titre 2
Titre 3
Titre 4
Recto
Quel est le principe de l'immunosuppression dans la transplantation d'organe ?
Verso
L’immunosuppression est destinée à :
  • prévenir le rejet aigu à la phase initiale (traitement d’induction) ;
  • prévenir les rejets après la phase initiale (traitement d’entretien) ;
  • traiter les rejets aigus (traitement curatif).
 
En l’absence de traitement immunosuppresseur, le rejet d’un organe allogénique est inéluctable. Toute la difficulté consiste à donner la dose adéquate de façon à prévenir le rejet tout en évitant les complications toxiques, infectieuses et néoplasiques liées à un excès d’immunosuppression.
 
Certaines règles doivent être observées :
  • ne jamais arrêter le traitement immunosuppresseur ;
  • utiliser un monitoring pharmacologique pour les immunosuppresseurs à marge thérapeutique étroite pour les maintenir dans la fourchette thérapeutique par le dosage de la concentration sanguine ;
  • prendre en compte les interférences médicamenteuses, en particulier avec les inhibiteurs et les inducteurs enzymatiques du cytochrome P450 3A4.
 
Les immunosuppresseurs ont pour principales cibles l’activation et la prolifération lymphocytaire T selon différents niveaux d’action résumés dans le tableau 7. Dans de rares cas, en particulier au cours de la prévention ou du traitement des rejets humoraux, des immunosuppresseurs ciblant le lymphocyte B y sont associés.
 
Les protocoles d’immunosuppression sont variés et sont adaptés au risque immunologique, à l’âge du receveur, à la qualité du greffon, au risque infectieux…

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